Mes 1er clients

Je l’ai eu au téléphone seulement, je ne sais pas à quoi il ressemble. Il avait une voix relativement jeune, mais je ne saurais pas dire son âge. Je me repasse depuis des heures la discussion dans ma tête.

" Allo Simon?….. Il avait une voix assez gênée
- Oui c’est moi
- Bonjour, je m’appelle Florent, et… j’ai vu ton annonce sur le site badoo.
- Enchanté Florent, que puis je faire pour toi ?
- J’aimerai… …. une pause, il respire…… te rencontrer et… …….. une autre pause et, dans un soupir, .. te baiser　?.
- Oui, super, pas de problème, réponds-je, non sans une certaine peur au ventre ne connaissant pas son age.

Un silence, j’attends, ce n’est pas à moi de prendre les devant, après tout ce sont ses désirs qui comptent.
- Heuu, et tu seras rasé niveau bite?
- Non, je ne la rase jamais
- C’est génial, j’adore ça. ….. une pause …. euh… je peux te demander quelque chose ?
- Oui bien sûr, dis-je en rigolant, tout ce que tu veux, si je suis censé être ta prostitué, tu peux demander !

Une pause assez longue puis

-Bon, alors, j’aimerais quelque chose de spécial. J’aimerais te dominer, dans une sorte de scénario.
– hummm　!　!… oui, super !
- C’est vrai tu aimes ça ?
- Oui, j’adore
- Ah très bien ……… sa voix commence à se détendre….puis

-alors je t’explique. Je veux un prostitué parce que mon copain n’accepte jamais. J’aimerai que tu sois vraiment à mes ordres. J’aimerai venir chez toi. Tu serais habillé normalement, mais en dessous un débardeur en résille et un jock-strap noir. Tu as ça ?
– Non mais j’ai string noir et débardeur en résille
- Je viens chez toi pour visiter ton appartement. Tu me montre tout l’appartement, et je demande à voir ta chambre, et je veux qu’il y ai un magazine gay et que tu sois tellement gêné que je puisse en tirer avantage pour te faire faire tout ce que je veux.
- D’accord, j’aime l’idée.
- Cool, très bien….. Une dernière chose… ….. (une pause )….. tu es ouvert à tout ? Vraiment ?
- Mais oui, vas y n’ai pas peur
- Dans ce scénario… j’aimerai qu’on fasse comme si on était fils et père. … Une pause….. tu comprendras pourquoi.
- D’accord pas de problèmes, dis-je, intrigué ..quand même
- Bon, quelques dernières questions. As-tu des godes ?
- Oui, ne t’inquiète pas, tu pourras me baiser avec.
- Tu acceptes d’être vraiment bien dominé ? Je veux dire, je ne fais pas mal, ça je m’intéresse pas, mais… genre… humilié, à mes ordres.
– ça sera une première ..Oui, tout que tu veux, je serais ta putain jusqu’au bout, ne t’en fais pas.
- Très bien. Et… Tu prendrais combien pour ça ?
- Tu vois ça en combien de temps ?
- Une heure une heure et demie maximum
- Alors on va dire 200 euros. Hihiii je rigole mon prix "　GRATOS　" ça te vas　?….
- D’accord parfait, tu es sympa répond-il de suite. Ton adresse ?
Je lui donne mon adresse
- Très bien. Je viens à 3h ça te va ?
- Oui
- A tout à l’heure et il a raccroché.

Et maintenant j’attends. Je bande comme un taureau mais j’ai quand même la peur au ventre. Je n’ai jamais été la pute de qui que ce soit à ce point la. Ca m’excite à mort.
Toc Toc,
Ca y est, il est là. Je m’approche doucement de la porte. Je le vois par le Judas… Mais… c’est… Il… me ressemble comme deux gouttes d’eau ! Juste plus jeune, peut être 18 ans….. Ou moins …..Ma bite fait presque exploser mon string. J’ouvre.
- Bonjour papa, dit-il de sa voix sexy. Il et habillé en habits de sport très moulants,

-Bonjour dis-je de ma voix la plus naturelle, entre, que je te fasse visiter.
- C’est ici que tu vis, depuis que tu as quitter maman ?
Il regarde partout. Il me regarde, j’ai l’impression que son œil passe au travers de mes habits. Ma bite cogne de plus en plus fort contre mon pantalon. Il fait comme si il ne voyait pas. Mais moi je vois bien la sienne, énorme contre le sien, partant vers la droite.
- C’est ta chambre ? dit il en montrant du doigt une porte fermée.
- Oui.
- Je peux voir ?
- heuuuuu…., dis-je d’une voix étranglée…
- Quoi qu’est ce qu’il y a de gênant ? Dit-il en ouvrant la porte.
Mon lecteur de DVD est allumé et en pose sur un film alors j’essaye de rentrer avant lui, mais il entre et tombe sur l’exemplaire de Gay Video ouvert à une page pleine de mecs musclés qui s’enculent dans tous les sens. Il le prend très lentement. Je m’empresse de dire " Mais c’était juste pour voir, tu sais　J 　"…
- J’étais sûr que tu étais pédé.
- Non ! Sûrement pas, je..
- Tais-toi. J’imagine que personne ne sais, hein.
- Mais je suis pas…
- Ta gueule ! Crie-t-il. Il s’approche de moi, menaçant, et me saisit violemment par le col. " Tu sais ce que je peux faire si tu fais le malin avec moi. " Il me pousse vers le mur.
-Non, s’il te plait. Je ferais tout ce que tu veux.

J’ai vraiment la trouille maintenant devant son air terrible.
- Tout ce que je veux ? Tu as bien dis tout ce que je veux ?

Il me perce de ses yeux magnifiques.

Une pause. Je baisse les yeux, et d’un air piteux, alors que j’exulte dans ma poitrine et dans mon string je lance dans un soupir un faible

- oui.

Il me lâche violemment, et va s’assoir sur mon lit. Il se caresse sa bite dans à travers de son pantalon avec ostentation. Je regarde avidement, car elle a vraiment l’air énorme. Captant mon regard il me lance un

-oh pas de regard insolent, petite pute, tu la regarderas en temps voulu
- D’accord, réponds-je la tête basse.
- J’aime mieux ça. Maintenant tu vas te déshabiller lentement et sensuellement, dans l’ordre que je te dirai. Commence donc par ta veste.
Je vais vers les rideaux, je voudrai pas que les voisins voient ça, non plus.
-Tu crois que tu vas faire quoi, là ? Je t’ai pas demandé de fermer les rideaux ? Non, je crois pas. Les voisins verront exactement ce que tu es, une traînée.

C’est très bien comme ça. Ca m’excitera plus, et toi aussi j’en suis certain.
Le pire c’est que c’est vrai. J’enlève avec lenteur ma veste qui tombe à mes pieds. Il la ramasse et la jette sur le canapé.
- Bien. Maintenant ouvre ton pantalon, mais sans l’enlever.
Lentement je défais ma ceinture, puis j’ouvre le bouton, en le regardant d’un air coquin. Je vois que ça lui plait, parce qu’il commence à frotter plus fort son énorme bosse.
- Touche toi, lâche-t-il dans un soupir très tendu.
Je commence à me toucher dans l’ouverture de mon pantalon. Je me demande comment je vais pouvoir ne pas jouir rapidement, tellement je suis tendu ! Mais je continue, lentement les yeux braqués sur lui. Il respire de plus en plus fort.
- Ta chemise. ….

Une pause. Je feins une hésitation

- Ta chemise, j’ai dis, enlève moi cette putain de chemise si tu veux pas que je te balance .mon point dans ta tronche
J’enlève bouton par bouton, révélant au fur et à mesure mon débardeur en résille. Je vois ses yeux s’écarquiller. Quand j’ai fini d’enlever ma chemise qui tombe au sol, il me fixe en me dévorant des yeux.
- Attends une minute. C’est quoi, ça ?
Une pause.
- C’est un truc de pute, ça. Tu mets ça ? Réponds moi !
- C’est juste pour faire plus pute , c’est ça que tu voulais..non…..
-Te fous pas de ma gueule ! Enlève ton fût.

J’enlève très lentement mon fût.

Ca y est, mon voisin arabe regarde, en face. Je croise son regard. Il me bouffe des yeux.

Florent le voit. Il sourit.
- Tu vois, je t’avais dit qu’ils aimeraient tes voisins. Ils te voient souvent ?
- N… non… peut être je sais pas.
Il s’approche de moi, les yeux rivés sur mon string. Il prend la ficelle entre deux doigt et tire un peu.
- C’est quoi, ça ? ….. pourquoi tu mets ça ? …..

Une pause

- Me dis pas… Ton débardeur… ton string résille… me dis pas…

- Non, ce n’est pas ce que tu crois
- T’es un gigolo ?
- Non ! Attends je vais t’expliquer…
- Oh oui, tu vas m’expliquer. Depuis Combien de temps tu fais la pute ?
- Mais…
- REPONDS !
Je baisse la tête.
- 3 ans, dis-je tout bas.
- 3 ans ! 3 ans que tu te vends à des inconnus, alors que moi j’ai le droit à rien ! Mais je vais te défoncer ! c’est des vieux qui sont passé par là　?, dit il en me foutant un doigt dans mon cul déjà huilé, y a pas de raison que je reste en dehors, moi.
Je lâche un soupir quand un doigt rentre dans mon cul.
- Ah mais c’est que t’adore ça en plus. T’es vraiment qu’une salope. Tu vas t’en prendre papa. Et puisque tous les autres ont eu le droit, je vais pas me priver. A quatre pattes.
J’hésite.
- Tu as entendu ?!

Il me prends les cheveux, mais sans me faire mal. Il me chuchote presque d’un air plus menaçant que jamais

-A quatre pattes trainée !

Je m’exécute.

Je regarde par la fenêtre, mon voisin a sorti sa bite et se branle doucement en me regardant fixement avec des jumelles. Je tends le cul en me cambrant le plus possible. Là, dans cette position, je me sens enfin un vrai gigolo, et mon cul n’attend plus qu’à s’ouvrir.
Florent se déshabille très vite. Le voila à poil. Mon dieu, quel corps d’athlète ! Il doit passer des heures au sport. Il est rasé sous les bras et sur le cul, et ses jambes ne sont que légèrement poilues. Sa queue se tend fièrement toutes les secondes. Elle est énorme. Je suis fier habituellement de mes 18 cm épais, mais là, je reste bouche bée.

Il s’approche de moi, me prend la bouche dans sa main.

-Petite trainée tu vas t’en prendre plein le fion !

Il s’écarte et tourne autour de moi en me toisant d’un air méprisant.

-Alors comment on se sent ? Je fais de toit ce que je veux. Ecarte les jambes. Regarde tes voisins.

Ils sont deux maintenant , sa femme l’a rejoint et viennent de se foutre complètement à poil.

Il sont super bien foutu. et je les vois pour la 1ere fois a poils

-Alors t’as honte ? Tout le monde va savoir maintenant comment tu gagnes ta vie. A quatre pattes, hein, et hop le fric tombe !

Je sens que le moment est venu de faire ma chaude. Je me lèche les lèvre d’un air salope, et je me mord la lèvre.
- Ah tu crois que tu vas aimer ça, hein. Pétasse

.

Il me crache dessus. Ca me tombe pile sur le cul. J’étale son crachat et je le fais rentrer dans mon cul d’un doigt agile.

Il prend un des godes qui sont sur ma table de chevet. Dieu merci il prend le moins gros.

-Alors c’est ça ton arsenal ? Prépare ton cul, j’ai déjà vu qu’il était glissant comme il faut

.

Il s’approche avec les godes à la main, et je lui tends mon cul. Je sens le plus petit se presser contre mon cul. Il appuie doucement et je me sens m’ouvrir. Doucement, doucement ça rentre, et enfin tout y est. Il fait des vas et viens avec ce gode. Heureusement qu’il est lisse, comme les autres. J’adore ça.

Je vois mes voisins baver d’envie.
- Bon, je vois que tu kiffe ça, on va passer direct aux choses serieuses… dit il après avoir fini de m’ouvrir avec mon plus gros gode, celui qui fait 16 cm et relativement épais. Il sort de son sac un énorme gode. Encore plus gros que sa bite. Il me prend et ma balance sur mon lit comme si je pesais 3 grammes. J’atterris la tête contre mes coussins. Je sens quelque chose de très gros se presser contre mon cul. Je me concentre très fort pour détendre au maximum. Je crie doucement.

-Ah, oui, dur métier, papa, mais ça rentrera, les 22 cm par 6 en entier, que tu le veuilles ou non.

Il force de plus en plus, ca y est ca rentre d’un coup. Je mords mon coussin et je crie franchement cette fois. Les vas et vient se font de plus en plus profonds, et il continue de m’insulter. Quand je sens les boulles en latex contre mon scrotum, je sais que j’ai atteint le bout. Les va et vient se font maintenant sur toute la longueur de ces 22 cm de fou ! J’ai l’impression d’un raz de marée perpétuel. Il me le plante un bon coup

Florent , prend son portable

-maintenant tu peus venir, il est prêt , je laisse la porte ouverte la porte ouverte

, il revient vers moi.
- euh… a qui tu as dit que j’etais prêt　?
- T’inquiète, me répond il sur un ton méprisant, je payerai pour lui aussi, pareil que pour moi. 400 euros en tout (facile avec des billets de monopoly), dit il en mettant l’argent sur mon bureau. Ca va t’es content, salope ?!
-Oh oui, je suis content ! Je souris
Il s’approche, retire le gode, et me prend par-dessous les bras. Je sens sa bite rentrer dans mon cul comme si elle rentrait dans du beurre. Il rentre tout d’un coup qui me coupe le souffle et je hurle de bonheur. C’est à ce moment là je crois que les voisins sont rentrés.
- C’est donc ça, dit une voie jeune en regardant l’argent sur mon bureau,

tu es un putain ?

Par la voie je reconnus Karim le fils du voisin qui de surcroit ses parents devant la fenêtre baise au même rythme que moi
- C’est pour ça qu’on voit toujours des mecs différents qui rentre dans la maison. Je me posais des questions. Tout s’explique.

Je suis toujours en train de me faire baiser violemment par Florent.

-tu aimes vraiment ça ?

- Oui… , haletais-je entre les coups qui me percent, j’a…dore… ça !
Il regarde Florent

-je peus ?

- Oui, c’est moi qui l’offre, viens goutter.
Il se déshabille pendant que Florent m’encule de plus belle. Sa bite est déjà grosse!

relativement grande, dans les 22, mais d’un épaisseur comme je n’en ai jamais vu. Je regarde avec ébahissement.
- Ca va, c’est assez gros pour toi, trainée ? 22 cm/6 rien que pour toi. Tu vas déguster.

Il s’approche et me la donne. Heureusement que j’ai une mâchoire très grande. Je la prends dans ma bouche, j’ai l’impression que je vais étouffer, mais putain, qu’est ce que c’est bon !. Florent décule d’un coup. Je me sens vide, mais je ne bouge pas. Karim s’allonge sur moi , mes jambes sur ces épaules et commence à me titiller le cul avec sa bite. Sous le regard des parents toujours a la fenêtre Je m’accroche au lit, mais ne bronche pas

-vas y, tu peux y aller…… il est bien ouvert …

lui lance Florent.

Je me sens écartelé, mais mon cri est étouffé par la bite de Florent qui va jusque dans ma gorge. Je me sens exploser de partout. Les coups de Karim de ravagent de bonheur, et ça ne s’arrêtent pas.

Je touche le cul de Florent et je comprends qu’il est en train de se faire prendre pendant que je le suce.

Mais qui est cet intrus　?

Florent commence à crier lui aussi. Je me rend compte que la fenêtre est encore ouverte et les parents de karim toujours au jumelles.
Florent murmure quelque chose à l’oreille de l’intrus. Je ne sais pas ce que c’est, mais je sens la bite de l’intrus se retirer de Florent et je l’entend aller derrière moi. Je retire Florent de ma bouche et je crie

- qui c’est lui　?…AH　! NON non non pitié pas ça !

- Ta gueule petite saloperie. J’ai payé ,je te ferais baiser comme je veux.

Je sens la deuxième bite (heureusement assez fine)se presser contre mon cul, et là pour le coup je hurle de douleur en même temps que de plaisir. Je les sens aller et venir dans mon cul, leurs deux bites se frottant l’une contre l’autre. Je ne vois plus rien que le cul de Florent, qui positionné au dessus te ma tête et j’en profite pour lui lécher la rondelle. Je glisse un doigt dans son cul, et il gémit. Il me donne son plus gros gode, et je comprends qu’il veut que je lui enfonce. Plus je lui enfonce, et plus sa bite rentre profond dans ma gorge.

Après un moment que je ne saurai déterminer, je vois enfin les mecs autour de moi, Karim et l’intrus se regroupent et se branlent autour de moi. Les uns après les autres ils me jutent dessus des jets violents et chauds.

-Florent … qui est ce petit jeune　a la queue fine?

-chut secret je te le dirai plus tard

-dis-moi au moins son prénom que je le félicite

…

-heuuu…. Je peus dire…　?

l’intrus répondit a sa place

-ben….Nicolas …17ans pour vous servir monsieur

-merci Nicolas tu m’as fait passer au paradis , j’aurai jamais cru pouvoir me prendre 2 bites dans me cul en même temps.

-de rien monsieur , tous le plaisir était pour moi vous m’avez dépucelé

..

-j’ en suis ravis

-j’ espère a l　‘avenir vous revoir et vous baiser en solitaire　J

-je t’attendrai……

Je n’en peux plus..

Ils s’habillent tous sauf Florent et partent rapidement. Florent m’embrasse et me glisse sa main sur mon torse luisant de tous les spermes mélangés.

- Tu as été génial, un vrai putain comme on les aime

- J’ai adoré , mais tu connais Karim toi　?
- J’ai vu. OUI bien sur Karim c’est mon ami

-ok ok　! mais maintenant mes voisins et leur fils savent　?

-t ’inquiète papa ils le savaient déjà…

-tu crois　? , c’est vrais　?

-oui papa Simon , je vais te dire….

-me dire Quoi　?

-le scénario c’est une idée à eux pour te prouver que tu es a nos yeux ,l’ami ,avec qui on peut compter….

Sur ce , sans avoir pu répondre Florent est rentré en moi à nouveau par derrière et nous nous sommes endormi emboîtés l’un dans l’autre ..jusqu’au lever du jour suivant

Dans les semaines suivantes , mon voisin, depuis plus de trente ans , m’invita chez lui pour un couscous , a ma grande surprise sous la table Fatima se mis a me sucer encourager par son mari et son fils Karim.

A la fin de la soirée Fatima dis

-moi aussi je veus goûter la merguez et en même temps tu suce Mohamed et Karim

te nique

aussitôt dit aussitôt fait

conclusion　:

la vie serai plus belle si l’entente inter racial était comme ça

car quelques soit les races , la langue , le sexe unit toujours

C’était une fiction. Ecrite en collaboration avec un ami David