Dimanche 20 décembre 7 20 /12 /Déc 16:30
suite de la 1er épisode "rencontre en forêt" fiction écrite pa Pierrot le vosgien


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Le lendemain matin, Simon avait décidé d’aller aux champignons. Nous buvions le café tranquillement à poil dans la cuisine, quand le téléphone sonna. J’entendais Simon parler au téléphone dans la salon, puis il revint vers moi.

  •  
    • C’était mon petit-fils, me dit Simon, sa mère n’est pas là de la journée, il voulait savoir s’il pouvait venir aux champignons avec moi.

Ca ne me dérangeait pas bien sur, après tout, je n’étais pas chez moi. Je demandais à Simon s’il fallait que je mette un slip ou une serviette autour de ma taille. Il rigola et me dit que son petit-fils était cool. Ils allaient souvent se balader a poil dans la nature. J’étais rassuré.

Une heure plus tard, j’entendis une mobylette entrer dans la cour. Simon ouvrit la porte. Le jeune homme fit la bise à son grand-père et Simon me fit signe d’approcher.

- Je te présente Pierrot, il est là quelque jours pour m’aider à faire le bois. Je serrais la main au jeune garçon.

- Lui, c’est Mathieu, tu veux du café, il y en a encore tout chaud.

Simon servit un bol dans la cuisine, je m’installais sur le banc. Quelques instants plus tard, Mathieu entra dans la cuisine entièrement à poil. Il s’était déshabillé dans l’entrée. Je me sentais à l’aise.

- Ca y est, nous sommes entre hommes maintenant, dit Simon.

Mathieu était très grand, il avait la peau très blanche, beaucoup de poils autour du sexe et les cheveux coupé court.

- On va où aux champignons, Papy, demanda le jeune garçon qui buvait son café.

- Dans le bois derrière, c’est la bonne saison.

Simon se tenait debout derrière moi. Je sentais son sexe sur mon épaule. Je n’osais pas bouger. Mathieu leva les yeux sur nous. Simon me caressait l’épaule. Je me sentais bien, naturel, Simon était rassurant.

- On y va, demanda Simon, voyant que Mathieu avait fini son bol ?

On se leva et nous dirigions vers la porte. Simon prit un panier en osier au passage et nous sortions tous les trois a poil tranquillement.

- Il fait bon ce matin, dit Simon.

- C’est vrai, répondit Mathieu, on est mieux là qu’en ville.

Nous nous engouffrions dans le sous-bois. Il y avait de jolies clairières. Simon marchait devant. Après une demi-heure de marche, Simon proposa de s’arrêter quelques minutes dans une petite clairière ou l’herbe était verte pour se reposer. On s’allongeait tranquillement sur l’herbe. Simon en profita pour pisser debout devant nous. Je repensais à la veille quand nous avions pissé ensemble. Je commençais à bander.

- T’as vu, dit Simon a son petit-fils, il en a une grosse.

J’ en étais un peu géné.

- T en as pas une si grosse, dit-il a Mathieu.

Le jeune garçon se rebella et écarta les jambes.

- OH ! Papy, elle est pas si petite que ça. f2100_1230.jpg

Simon s’approcha et prit sa bite dans la main.

- Tu t’entraines bien à la branler j’espère…

Simon approcha sa bouche et engloutit entièrement le sexe de Mathieu.

- Elle grossit bien quand on la suce, dit Simon après quelques minutes. Moi je bandais a fond en regardant le grand-père et son petit-fils ensemble. Je commençais à me toucher.

- C’est vrai qu’elle est grosse, me dit Mathieu en regardant ma bite.

- Ben vas-y, suce- lui dit Simon.

Mathieu s’approchait de ma bite et commença a sucer mon gland. Sa langue était chaude et très experte pour un jeune homme de son age.

Simon pelotait mes couilles. Puis il me dit :

- Tu devrais goûter la bite du petit.

Je me redressais et commençais à lécher la bite de Mathieu qui bandait bien dur.

Simon s’allongea dans l’herbe et dit à Mathieu.

- Viens me montrer comment tu te branles bien dans une bouche maintenant.

Mathieu s’assit sur le torse de son grand-père et se mit à se branler. Son gland touchait les lèvres de son grand-père.

- Ca va venir, Papy.

Ils étaient d’une beauté incroyable.

  •  
    • Vas-y petit, dit Simon, j’attends ton jus.

Mathieu se masturbait de plus en plus vite en regardant son grand-père. Simon attendait la bouche grande ouverte et la langue tendue. Tout à coup, un douce rivière de sperme se déversa sur la langue de Simon. Toute blanche, laiteuse, en abondance. Simon attendit la dernière goutte et avala entièrement la délicieuse substance. Il me regarda en souriant.

- C’est divin, dit-il.

Mathieu, posa quelques bisous sur les lèvres encore humides de son grand-père. Je sentais que j’allais jouir à mon tour. Je ne pus me retenir. Simon ouvra à nouveau la bouche et mes jets puissants rentrèrent au fond de sa gorge encore tapissée du sperme de Mathieu.

Mes couilles frémissaient de bonheur. Pour faire plaisir à son grand-père, Mathieu se mit a le sucer.

- Ca vient petit, dit soudain Simon.

Mathieu continuait jusqu’à ce que tout a coup il immobilise sa bouche et toute le sperme de la bite de Simon se déchargeait dans la bouche du petit. Ca dégoulinait le long du sexe de Simon. Je ne pus m’empêcher d’intervenir et de lécher les guelques gouttes restantes. En retirant sa bouche, Mathieu laissa s’échapper le sperme qu’il n’avait pas pu avaler entièrement. J’avais envie de l’embrasser. Nos bouches étaient si près l’une de l’autre. Mais Mathieu dirigea sa tête vers son grand-père et l’embrassa tendrement , j’étais un peu déçu mais c’est normal.

Nous nous reposions un peu avant de reprendre notre marche dans la forêt. Chaque fois que Simon se penchait pour ramasser un champignon, Mathieu et moi nous nous regardions d’un air complice. Mathieu devinait mes envies. Il me souriait.

- Il est temps de rentrer, nous dit Simon, on a assez de girolles pour une bonne poêlée à midi.

Nous regagnions la maison.

Simon faisait très bien la cuisine. Nous nous étions régalé.

Après déjeuner, il suggéra d’aller dans son atelier afin de finir la réparation du vieux tracteur. En effet, celui-ci était tombé en panne et il avait du refaire lui même quelques pièces cassées.

Le nez sous le capot, Simon raccordait des vieux câbles. Mathieu rabotait des pièces de bois dans l’étau de l’établi. Moi je passais les outils à Simon. J’en profitais pour lui toucher le cul de temps en temps. il en bandait comme un cerf.

Mathieu avait besoin d’un coup de main pour tenir une planche.

- Il est beau ton grand-père, dis-je a Mathieu, ça c’est un homme, un vrai.

- Tu l’as déjà enculé, me demanda Mathieu.

- Oui, hier soir.

- Tu dois avoir un bon cul aussi, me dit Mathieu.

- Je suis serré, répondis-je , mais j’aimerais bien.

- Tu veux que je te le travaille un peu avec Papy?

J’acceptais volontiers. Je me mis sur le dos sur l’établi. Simon vit ma rondelle les jambes écartées.

- Il faudrait un peu de salive, dit-il a Mathieu.

Simon se mit à genoux parterre et me lécha le cul. Mathieu commençait a bander et entra deux doigts dans mon trou.

- Enfonce bien , lui dit Simon

- Oui vas-y Mathieu, écarte moi bien le trou, suggérais- je.

Mathieu mit ses doigts dans sa bouche pour les mouiller et enfila 4 doigts. Simon m’embrassa comme pour m’encourager.

- Met lui un manche d’outil, dit-il à Mathieu.

Le petit saisit un manche de marteau, le fit lécher à Simon et commença à me l’introduire. Il bandait bien. Je sentais le manche rentrer a fond dans mon ventre.

- C’est bien, s’exclama Simon. Tu devrais essayer de l’enculer maintenant.

Mathieu retira le manche et pointa sa bite devant mon trou. Il entra facilement. Simon approcha sa bite de mon visage. J’ouvris la bouche et commençait à le sucer. Mathieu limait doucement.

- Ca fait du bien.

- Vas-y petit, jute lui dans le trou.

Mathieu accélérait le rythme et tout a coup, lacha sa délicieuse purée dans mon trou. Au même moment, Simon déchargea dans ma bouche.

- Remplis le bien, dit Simon à son petit fils.

J’avais la bouche pleine de sperme. Simon avait envie de pisser. Il profita que j’avais la bouche ouverte pour envoyer quelques jets de pisse. Tout en étant au fond de mes entrailles , Mathieu approcha sa bouche de la mienne. Nous buvions ensemble la pisse du grand-père lorsque je sentis que Mathieu commençait à pisser dans mon cul.

Je me sentais rempli. La pisse mélangée au sperme dégoulinait parterre. Mathieu se retira de mon cul. Simon le rejoignit et lui dit

-tu as été génial et l’embrassa goulûment .

J’étais vidé. Mon corps enfin s’apaisait. Mais je n’avais pas joui. Simon se mit a quatre pattes.

- Viens, c’est mon tour maintenant.

Je me relevais de l’établi et pointais ma bite vers le trou grand ouvert de Simon.

Mathieu s’était glissé sous lui et lui léchait les couilles. Je rentrais facilement. Nos couilles s’entrechoquaient. Je sentais la langue de Mathieu nous lécher les couilles et la rondelle de son grand-père.

- Je vais cracher.

- Vas-y Pierrot, met tout dedans.

J’inondais de jus le cul de Simon. Mathieu continuait à lécher le trou et nos couilles. Apres quelques minutes, je me retirais doucement. Le jus commençait à sortir du cul de Simon.

Mathieu saisit ma bite en bouche. Il ne perdait rien. Mathieu continua à me lécher le gland. . J’étais vidé

Simon se releva. Du sperme coulait encore sur ses couilles. Il en ramassait le plus possible et se léchait les doigts. Il les introduisait dans son cul et les ressortait plein de sperme. Délicatement, il rentra un doigt dans le cul de son petit fils en faisant bien rentrer le sperme. Mathieu me nettoyait toujours le gland avec sa langue. Simon renouvela l’opération. Le sperme qui sortait de son cul lubrifiait ses doigts qu’il enfonçait dans le cul de Mathieu puis à la fin, écarta les fesses du petit et enfila sa langue. Mathieu semblait aux anges. Il poussait au maximum. Sa rondelle se dilatait, Simon passait sa langue tout autour et dans le trou du petit.

- C’est un délice, dit Simon.

- J’ai hâte de me faire enculer un jour, nous dit Mathieu.

Nous le ferons, répondit Simon. Tu seras un homme ce jour-là.

Nous achevions la réparation du tracteur. Je bandais à chaque fois que je repensais au cul ouvert de Mathieu. Il me branlait un peu de temps en temps et retournait à son étau.

La fin de l’après midi approchait. Mathieu devait repartir.

- J’aimerais tellement rester avec vous deux, avoua Mathieu, l’air triste en remettant son jogging. Je reviendrais bientôt Papy, dès que je le peux.

La maison est toujours ouverte, mon petit, répondit Simon.

Mathieu monta sur son mobylette et rentra chez sa mère.

Nous avions passé une superbe journée.

Je devais repartir le lendemain. J’avais promis à la voisine que je récupèrerais mon fils avant le week-end.

Simon me ramena en voiture chez moi au village. Nous étions tristes tous les deux. Durant tout le trajet, nous nous caressions les cuisses, les couilles, la bite. Je lui promettais de revenir bientôt. Il avait encore beaucoup de travail pour moi. Je lui répondais que je pourrais sans doute venir pendant les vacances de Pacques.

En rentrant à la maison, je repensais à tous les merveilleux moments que nous avions passé ensemble.

Jérémy frappa à la porte ; il avait vu que j’étais rentré. Comme d’habitude, il se déshabilla et garda son T-shirt et ses chaussettes ; il avait toujours froid. Il me demanda comment s’était passé mon travail chez Simon. Je lui dit que c’était un Monsieur super, et que je m’étais très bien entendu avec lui. Jérémy à l ‘age de Mathieu ,pas besoin d’expliquer notre amour mais il voyait bien que j’avais une érection dès que j’en parlais. Ca ne le gênait pas, mais il ne me posa pas de questions, même si nous étions très libres l’un envers l’autre. Je lui dis seulement qu’il y avait eu aussi le petit-fils de Simon et qu’il était très sympa.

Le soir, avant de me coucher, je me branlais encore en pensant à Simon.

A SUIVRE

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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